Hogwarts Darkness
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 Rien ne s'assemble mais le tout se rassemble. [Cillian]

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Sunday Harwell
6ème année | Gryffondor
Sunday Harwell


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MessageSujet: Rien ne s'assemble mais le tout se rassemble. [Cillian]   Rien ne s'assemble mais le tout se rassemble. [Cillian] EmptyMar 5 Aoû - 13:12

(Désolée du titre, j'avais pas d'idée.)

Rien ne s'assemble mais le tout se rassemble. [Cillian] 2s7hzee Rien ne s'assemble mais le tout se rassemble. [Cillian] D810
Je n'aime pas le piment...
Par contre j'aime en ajouter dans l'vase.
Ce mélange est tordue.


    Qui était-elle sur ce bas monde ? Oui, pour rêver de choses aussi étranges… Normalement, elle ne se permettrait jamais d’être rêvasser sur de telles scènes, mais la nuit, quand elle était au bras de Morphée, Sunday ne contrôlait rien. Parce que d’habitude elle contrôlait chaque situation qui lui appartenait. Cette nuit-là, ce rêve n’en était pas un… Connaissiez-vous le mot flash-back ? La jeune rouge et or connaissait cette expression, ou plutôt ce mot qu’elle appréciait et qu’elle détestait. Alors c’était que ce soir-là, elle allait haïr ce mot. Sunday ressentait encore l’effet de ces lèvres se poser sur les siennes, finissant sur son délicat cou. Sa fougue se mêlant encore à sa perplexité de se retrouver en compagnie d’un jeune homme qu’elle reconnaissait mais son ivresse l’empêchait de le repousser. C’était ainsi que Sunday Harwell allait forcément… Se réveiller. Et elle était contente de pouvoir se réveiller, sortir de ses rêves ou de son flash-back, elle n’en avait que faire.

    Le matin était toujours pour Sunday un moment pénible. Les adolescents de son âge, la plupart du temps, détestaient se lever tôt pour un rien. Justement, elle se levait pour aller en cours alors qu’elle n’aimait pas vraiment les cours, sauf ceux qu’elle jugeait vraiment intéressant. Mais grâce à sa maudite cervelle, Sunday arrivait à avoir d’excellents résultats scolaires, au moins, ses parents n’allaient pas se piquer une crise. Bref, revenons-en au sujet fatidique… Repoussant ses couvertures épaisses, elle s’étira lentement pour aller se préparer dans la salle de bain du dortoir. Malgré que le temps météorologique n’était pas propice à ce genre de comportement, Sunday se prit une douche froide. Ah, parce qu’elle en avait besoin, d’une douche froide ! Pour être en forme le matin. Choisissant avec soins les vêtements qu’elle allait porter, elle se rendit brusquement compte que son uniforme était obligatoire ce jour-là. Soupirant, la Gryffondor enfila en toute vitesse sa veste blanche, sa jupe noire plissée et avec par-dessus, la légendaire cape de sa maison. Laissant ses longs cheveux blonds détachés, elle finit par sortir du dortoir et de la salle commune.

    Malheureusement pour elle, ce matin, Sunday commençait par l’ennuyeuse matière qu’était la divination. D’un côté, la Demoiselle allait pouvoir se reposer tranquillement ! Effectivement, Sunday se donnait le droit de s’assoupir pendant une heure entière pour se couler la douce. La divination… Une matière tout bonnement inintéressante qui ne servait à rien, sauf raconter divers charabias. Voilà, qu’assise à un endroit discret de la salle, Sunny’ n’écoutait en rien le cours, les yeux fermés. « Hé, la belle, la torture de ce cours est terminée ! ». Un élève venait de lui tapoter le bras pour lui signaler que l’enfer était terminé. Sunday ne mit pas plus de trois secondes pour sortir hors de la vue du professeur pour se rendre dans l’autre cours. Métamorphose. Là, c’était de l’enseignement ! Séance finie, la ‘grande pause’ était de mise. De longues minutes entières ou on pouvait s’éclater dans le parc, se promener dans les couloirs ou encore pleins d’autres occupations. Sunday allait même en avoir une, rien qu’avec le simple geste d’avoir fait glisser de son sac un livre pour ensuite le ramasser pour voir Cillian de Volanges…

    « Quoi ? Je rêve ou tu me suis ?! »

    Cillian était un élève de sixième année (tout comme elle), qui avait été réparti à Serpentard. Sunday avait eu l’occasion de le rencontrer en passant la nuit, alors qu’elle était ivre, avec celui qu’on disait con mais néanmoins séduisant. Pourtant, même après une engueulade, ils se parlaient et se disputaient. Comment ne pas le connaître ? Car évidemment, en cours de potions par exemple, ils étaient forcés de travailler en binôme quand le prof le disait. Et en voyant son visage, une expression d’agacement joyeux semblait se dessiner sur son visage. Parce qu’elle ne le détestait pas et ne l’aimait pas non plus, ce qui laissait penser qu’ils pouvaient se parler normalement souvent ou quelques fois. Compliquer ? Alors disons que oui. Soupirant, elle finit par lâcher :

    « Décidément je te verrais partout, à priori…

    Rien de plus amusant qu’une conversation dans le Hall d’entrée, vu qu’elle s’apprêtait gentiment à prendre congé dans le parc. Désormais, c’était pratiquement inutile, vu que Sunday était décidée à papoter.
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MessageSujet: Re: Rien ne s'assemble mais le tout se rassemble. [Cillian]   Rien ne s'assemble mais le tout se rassemble. [Cillian] EmptyMer 6 Aoû - 13:03

    sunday. she’s a rainbow black and white.






    Cillian de Volanges n’aimait pas les cours, certes, et se plaisait à sécher ce cours maudit appelé divination. Soit, il ne s’y rendrait pas. Elève doué d’une grande intelligence et qualifié de « studieux » par les professeurs, le Serpentard ne participait qu’aux cours car il en était ainsi, sinon, il resterait chez lui à pratiquer des activités plus intéressantes que cela. Le jeune homme entassa quelques livres et parchemins dans son sac en bandoulière puis quitta sa salle commune, en compagnie d’une petite bande de proche. N’allez pas croire que Cillian tenait à être entouré par des camarades, au contraire, il était même solitaire. La popularité ne l’atteignait pas tant que cela, il ne le devait qu’à ses frasques quotidiennes à Poudlard. Le sixième année, en guise de petit-déjeuner, n’avala qu’un café noir avec un coup d’œil vers la place habituelle de sa cadette, Camille, qui n’était pas présente dans la Grande Salle. On lui tapa sur l’épaule, Cillian se leva et rejoignit le reste des sécheurs vers le parc. Une heure libre s’annonçait pour eux, heure durant laquelle ils en profiteraient pour martyriser, s’avancer sur le travail, et profiter des derniers rayons de soleil que le reste des étudiants n’apercevraient pas. Jouissif.

    Excepté qu’une heure de détente passe beaucoup plus rapidement qu’une heure de boule de cristal, si vous voulez savoir. La cloche ne tarda pas à leur vriller les tympans, les arrachant à leur grasse matinée. Cillian sortit son emploi du temps, et put se rendre compte qu’un détail rendrait cette journée vraiment intéressante : la divination était le seul cours de la matinée, les autres auront lieu l’après-midi. Ce qui le rendait libre d’avoir la paix jusqu’à treize heures, alors que certains de ses camarades avaient malheureusement la matinée prise et l’après-midi libre. Il rassembla ses affaires et traversa le parc tout en lançant quolibets et jurons à tort et à travers. Première année qui le bousculait sans s’excuser (« Les parents font des enfants et ne savent pas les éduquer »), perverse féminine (« Je prône la fidélité promise à ma petite amie »), connaissances (« Mais oui, c’est ça, je vais bien »), et pour finir… Sunday Harwell qui ramassait un livre à ses pieds. Cillian aurait reconnu cette chevelure blonde entre mille, et pourtant il en connaissait des blondes, ainsi que son intonation semi-exaspérée semi-chaleureuse en vue de sa présence.

    « Quoi ? Je rêve ou tu me suis ?! » Il aurait juré qu’elle était faussement lasse de le voir. Volanges esquissa un sourire amusé. « Décidemment, je te verrais partout, à priori. » Soupira-t-elle derechef.

    Sunday était une Gryffondor très amusante, opiniâtre également, qui d’après les rumeurs, était la première à vouloir faire la fête. Lui avait eu le privilège de l’avoir entre ses bras une nuit – enfin, à son insu – puis l’avait lâchement laissée à sa bonne fortune le matin. Malheureusement pour lui, la demoiselle n’était pas une idiote, un fait contradictoire à ses ex d’une nuit. Désormais, ils se disputaient assez régulièrement seulement, ils s’appréciaient. Elle était clairvoyante, lui rusé, elle espiègle, lui fin stratège, deux personnalités paradoxes qui s’accordaient pourtant. Dur à reconnaître, mais Cillian l’aimait bien, cette fille. Il avait beau être un petit con, ses connaissances s’étendaient jusqu’aux Poufsouffle. Il n’était pas un Sang Pur qui désirait uniquement avoir des amis appartenant à Serpentard, au contraire. Il souhaitait rassembler les êtres à l’esprit vif, Sunday par exemple. Cillian savait qu’il pouvait compter sur elle – bien qu’il ne souhaitât pas le reconnaître.

    « Chérie, ce n’est pas ma faute si tu es absolument fan de moi jusqu’à me baiser les pieds. » Rétorqua-t-il avec une moue moqueuse. « Tu pourrais être suivie par un boutonneux laid comme pas deux qui t’assommerait de conneries. » Ajouta-t-il, innocemment.
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MessageSujet: Re: Rien ne s'assemble mais le tout se rassemble. [Cillian]   Rien ne s'assemble mais le tout se rassemble. [Cillian] EmptyJeu 7 Aoû - 12:35

(Il faut se moquer, vive la non-inspi de ma part.)

    Sunday l’insaisissable, la fougueuse blonde mais néanmoins intelligente qu’on ne pouvait rarement obtenir. Mais pourtant, c’était bel et bien Cillian, le Serpentard, qui avait eu l’occasion de l’avoir dans ses bras alors qu’ils étaient ivres. Sun’ ne s’en souvenait que brièvement. La chance ? Heu, la situation était réellement à voir. Et sans vouloir se vanter, qui n’aurait jamais voulu l’avoir dans son lit, rien qu’une fois ou quelques minutes ? Pratiquement personne. Voilà comment ou pouvait la décrire : tellement belle et intouchable. Miss Hardwell, l’originalité incarné, le courage et le fait d’être indomptable était dans ses veines. Si après la moitié des cours, Sunday avait prévu d’aller se balader dans le parc, son projet était tombé à l’eau. Par la simple présence de Cillian de Volanges et elle ne pouvait rien y faire. Puis, sa présence l’amusait, elle n’était pas en colère. Oui, pourquoi être en colère si Cillian ne la dérangeait pas ? Le fond de ses pensées, c’était bien tout.

    La Gryffondor avait l’habitude ne pas devoir être frustrer pour rien et d’ailleurs, elle n’avait rien pour être frustrer. Une vie qui avait ses hauts et bas, mais en somme, Sunday avait tout pour être heureuse et tout pour plaire. Était-elle suffisante, cette plaisance, pour éviter de s’attirer les ennuis avec Cillian ? Probablement. Sunday ne le craignait en rien, elle n’avait pas peur de lui. Elle en était quasi certaine, qu’elle était la seule à ne pas être tomber dans ses filets comme une idiote. Si elle avait été un soir avec lui, c’était simplement parce qu’elle était fêtarde et que parfois, ou rarement, elle était saoule. Ramassant son livre, se relevant pour faire face au si séduisant visage de Cillian. Sunday ne faisait que quelques centimètres de moins que lui, tout deux étaient sans conteste de grandes tailles. La rouge et or, grande, élancée à la silhouette si élégante, lui, grand, possédant son charme à lui, ses vêtements aussi beaux que ceux de la demoiselle.

    « Chérie, ce n’est pas de ma faute si tu es absolument fan de moi jusqu’à me baiser les pieds. »

    Le sens de l’humour ? Il lui semblait que Cillian avait autant de répartie qu’elle. Eh bien, les deux adolescents n’étaient tout de même pas égaux. Des différences se marquaient entre eux, mais pas aussi énormément qu’on pouvait le croire. Sunday, la vaillante qui aimait braver tous les dangers possibles, lui, le charmeur sans conteste, tout aussi bien doué pour ses qualités que pour ses défauts. Elle était convaincue que s’il le voulait, il ne pouvait pas être aussi égocentrique. Par contre, à son avis, il était inutile de le faire changer. Si elle se refusait de l’avouer aux autres, elle se l’avouait pour elle-même : Sunday aimait bien son ennamis pour ça. Sinon, aucune raison de s’amuser un peu…

    « Tu pourrais être suivie par un boutonneux laid comme pas deux qui t’assommerait de conneries. »

    Comment pouvait-elle se taire ? Comment pouvait-il adopter ce ton si innocent, alors qu’il n’en avait rien ? Reprendre ses habitudes, allez donc savoir, qu’était sa langue bien pendue, elle répliqua sans effort, sans arrêter pour reprendre sa respiration.

    « Mon tendre, si ton odeur est exquise je n’en dirais pas autant sur tes pieds. Alors, aucune raison de baiser ces pieds… Ce livre te donnera la preuve. Et je déteste être suivie. Même que je n’aurais même pas une seule pitié pour le pauvre boutonneux maladroit qui osera faire ce geste. »

    Roh, ouais, Sunday pouvait être drôlement dure et méchante avec les autres si elle le voulait. Même si elle avait un cœur en or, son côté mauvais était en elle. Méprisait-elle les gens qui ne se soignaient pas physiquement ? Pas spécialement, mais effectivement, pour les personnes laides qui se permettaient de la suivre, elle pouvait l’être. Se faire suivre était à son point de vue une chose inutile, pourquoi l’épier, de toute façon ? On la connaissait de partout, on entendait parler d’elle, alors se retenir pour ne pas la suivre était le meilleur moyen pour qu’elle ne se transforme pas en furie. Si Cillian l’avait suivi ? Elle n’en savait rien, mais elle n’avait pas envie de s’énerver contre lui, elle s’habituait à ça.
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MessageSujet: Re: Rien ne s'assemble mais le tout se rassemble. [Cillian]   Rien ne s'assemble mais le tout se rassemble. [Cillian] EmptyVen 8 Aoû - 19:20

    i hate people who read.







    « Mon tendre, si ton odeur est exquise je n’en dirais pas autant sur tes pieds. Alors, aucune raison de baiser ces pieds… Ce livre te donnera la preuve. Et je déteste être suivie. Même que je n’aurais même pas une seule pitié pour le pauvre boutonneux maladroit qui osera faire ce geste. »

    Cillian leva les yeux au ciel. Il retrouvait bien là cette Sunday, ne parvenant pas à imaginer comment il avait survécu pendant deux mois de vacances sans les remarques cyniques de la jeune fille. Bien qu’étant un « petit con » - et encore, il ne comprenait pas pourquoi c’était automatiquement cette adjectif qui sortait de la bouche des gens – Cillian avait des connaissances plus ou moins amicales dans tout Poudlard. Sunday, par exemple. Volanges ne s’en tenait pas aux idiots qui peuplaient Serpentard, car paradoxalement, leur poche était aussi pleine que leur cerveau était vide. Aucune opinion, sinon suivre celui ou celle qui possédait un brin de clairvoyance et un portefeuille bien garni, c'est-à-dire, suivre comme un chien son idole, attendre impatiemment de le voir tomber et récupérer le reste. Cillian rassemblait autour de lui les personnes dites « intéressantes ». Sunday faisait parti de ce groupe… Ironique et équilibrée, elle correspondait à ses critères. Ainsi, il ne cherchait jamais à se disputer avec elle, au contraire. L’avoir comme « amie » - si on peut dire – était une chance. Contradictoirement, il n’était pas calculateur, Cillian cherchait juste à avoir un cercle de proches intéressant. Il éprouvait une aversion totale pour les idiots qui posaient plus de questions en une minute qu’un enfant à sa mère. Parenthèse close en ce qui concerne l’explication de sa relation avec la jolie Gryffondor.

    « Mes pieds sont tout aussi divins que mon corps, ma belle. Et dire que je voulais te demander en mariage, honey, tu m’as vexé. Même si je suis fou d’amour pour toi, je ne suis pas encore un pervers doublé d’un idiot qui te suit comme un chien-chien. » Répondit-il, le plus calmement du monde.

    En mariage et fou d’amour pour elle ? Hm, peut-être pas aujourd’hui, non. Ils jouaient à qui provoquera mieux l’autre, mais les petits détails idiots étaient quasiment toujours glissés dans leurs sales remarques. N’étant pas d’une humeur massacrante, Cillian se réservait le droit d’adopter un ton joyeux empreint d’arrogance envers Sunday. Ses prunelles scrutaient le livre, maintenant, quittant ainsi les beaux yeux de la demoiselle. Il détestait les livres… beurk. Etudier, lire, travailler, non merci. Bien que doué d’une rare intelligence pour décrocher d’excellents résultats, Cillian ne comprenait pas les étudiants qui ne vivaient que pour travailler, qui réclamaient presque du boulot aux professeurs, juste pour le plaisir. Ils n’ont pas de vie sociale, c’est sûrement à cause de cela.

    « Ne me dis pas que tu te balades avec un livre ? Toi, Sunday Harwell, Gryffondor de mon cœur, tu lis un livre ? Rassure-moi : c’est un album de coloriage, n’est-ce pas ? Dépêche-toi de me dire oui, je frôle l’arrêt cardiaque… »

    Un album de coloriage ne le surprendrait pas. Un livre sans image dans le sac de Sunday, en revanche, oui. Si Harwell se mettait à lire, alors il s’y mettrait un jour. L’horreur ! La bibliothèque était un lieu qui le révulsait, il n’y passait que pour un exposé quelconque. Fait paradoxe, des étagères contenant une centaine d’ouvrages divers se trouvaient dans sa chambre, au manoir. Pendant l’été, il était voué à se bourrer de choses inutiles simplement par ennui… Désespérant.

    « Quant au boutonneux, tu es méchante, darling. Un peu de pitié, voyons. Mais je sais que tu me préfères à tous les mecs qui te courent après. »
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MessageSujet: Re: Rien ne s'assemble mais le tout se rassemble. [Cillian]   Rien ne s'assemble mais le tout se rassemble. [Cillian] EmptyVen 8 Aoû - 20:43

(My God, la fin est un peu trop "relâché" sur la qualité mais voilà...)

    Se retrouver dans le hall en compagnie de Volanges, alors là, c’était que le monde faisait son apocalypse. Non, en toute honnêteté, même si elle éviterait soigneusement de le crier sur les toits, le fait de converser avec Cillian l’amusait. Serpentard, Gryffondor… Aucune ressemblance en perspective, si ce n’était qu’ils étaient tout deux des ironiques en chefs. Façon de parler, bien entendu. Certes, Sunday connaissait énormément de personnes capables d’ironies, mais alors, Cillian était totalement différent à son goût. Elle le trouvait tout particulièrement intéressant. Peut-être s’intéressait-elle à son côté charmeur mélanger au cynisme ? Charmeur. Un terme approprié, malgré qu’il ne l’avait jamais attiré le moins du monde, mais Sunday se trouvait incapable de dire quelle était le genre de relation qu’elle entretenait avec lui, si ce n’était qu’il représentait à ses yeux un ami et en même temps, un sale arrogant. Elle en conclut alors que C avait amélioré son ironie plus que mordante, qu’elle avait eu une chance de l’avoir connu. Pourquoi ? Simplement parce qu’il fallait varier les « sortes ». D’habitude, elle s’habituait à traîner avec des personnes sympathiques, qui correspondait à son caractère. Ce genre de relation n’était que banale, tandis que Sunday s’attachait sincèrement plus à la profondeur des choses, et de Volanges en était certainement l’exemple le plus drôle, si on pouvait le dire ainsi…

    « Mes pieds sont tout aussi divins que mon corps, ma belle. Et dire que je voulais te demander en mariage, honey, tu m’as vexé. Même si je suis fou d’amour pour toi, je ne suis pas encore un pervers doublé d’un idiot qui te suit comme un chien-chien. »

    Sun’ réprima un rire partagé entre la moquerie et la joie. Le mot chien-chien avait le don de la faire rechigner. Les chiens, elle adorait, mais les toutous inutiles, elle détestait. Dans le sens ou on essayait de la suivre partout ou elle allait, ou bien encore de trop être fan d’elle. Bon, Sunday était « populaire sur les bords », on la connaissait, on l’appréciait, on la détestait, mais oui, dans certains cas, on aimait bien suivre ce qu’elle faisait. Le seul fait qu’on ne pouvait pas tellement suivre sur elle, c’était ses vêtements, qui étaient hors de prix, donc, pas à la portée de ceux qui n’avaient pas les moyens. Rares étaient ces gens-là, si ce n’était que les Volanges étaient tout aussi riches que les Harwell, ainsi que d’autres familles fortunés de Poudlard. Il fallait en revenir à nos moutons…
    Toisant Cillian d’un regard infaillible, elle eut une réplique à en toucher n’importe quel gars qui n’en était pas habituer. Mais C était habitué, heureusement pour lui.

    « J’ai envie de soupirer mais tes pieds sont comme je le disais, la définition du ‘beurk’. Et le mariage attendra, soigne-toi en attendant, tu es un amour mais malheureusement, ta cravate est sur le point de s’affaler… »

    Oh, elle savait que le soi-disant mariage n’était qu’une remarque humoristique de la part de Cillian, mais Sunday se mettait à adorer jouer au jeu de C. Une grande habitude dont elle ne se lassait jamais, jouer le jeu de Cillian de Volanges. Sinon, autant se taire et faire demi-tour, si on avait pas suffisamment d’humour pour affronter le fortuné Cillian. Presque soudainement, elle marqua une pause avant de chuchoter à un ou deux centimètres des oreilles du sorcier surnommé ironiquement « prince des cons » :

    « Je disais que ta cravate était sur le point de s’affaler parce que l’odeur de tes orteils remonte dessus, Chéri. »

    Se reculant, elle éclata de rire sous l’air amusé et en même temps surpris de Cillian. Le sourire éclatant de Sunday. Elle remarqua quelques secondes ou une minute plus tard que le regard de C, s’était dérivé vers le livre qu’elle tenait encore. Sunday n’avait même pas remarquer qu’elle le tenait encore fermement dans ses mains, et Cillian semblait même s’interroger, au point de finalement prendre la parole.

    « Ne me dis pas que tu te ballades avec un livre ? Toi, Sunday Hardwell, Gryffondor de mon cœur, tu lis un livre ? Rassure-moi : c’est un album de coloriage, n’est-ce pas ? Dépêche-toi de me dire oui, je frôle l’arrêt cardiaque… » et la réaction de Sun’ fut pratiquement immédiate, brusque, élégante mais aimable.

    « Hé, c’est toi qui a failli me faire frôler l’arrêt cardiaque ! Moi lire ? Non, je m’abaisserais pas à là, comme même… Je te signale que les Serpentard et les Gryffondor ont cours de potions dans la journée, donc, après la pause. En gros, c’est uniquement pour le cours, mon amour. Je n’ai pas besoin de livre pour être intelligente. »puis elle ajouta avec un ton faussement compatissant : « Ton frôlement d’arrêt cardiaque n’existe plus, le prince. »

    Sunday n'avait en effet pas besoin de se fourrer dans les livres jours et nuits pour être intelligente. On pouvait le savoir parce qu'elle était l'une des premières partantes pour faire la fête, donc, en logique précise, elle n'avait pas le temps de lire, si ce n'était que pour les profs quand ceux-ci exigeait du travail pratique sur feuille ou autre. Elle était certaine que Cillian était dans le même état d'esprit sur le boulot. C profita de son léger silence pour enchaîner de son ton si plaisant la prochaine phrase.

    « Quant au boutonneux, tu es méchante, darling. Un peu de pitié, voyons. Mais je sais que tu me préfères à tous ces mecs qui te courent après. »

    Ce qui n’était pas bien faux. Oui, les gens laids ne lui convenait pas et elle préférait Cillian à tous ces garçons qui aimaient la pourchasser pour espérer un jour sortir avec elle. Sun’ l’admettait même sans hésitation, parce que les mecs qui la poursuivaient n’étaient pas intéressants à son goût, sauf ce garçon qui la fixait sans cesse à des moments, sauf que lui ne la poursuivait pas, c’était différent.

    « Et ? Les moches me conviennent pas… A ta grande satisfaction, ouais, je te préfère à ces mecs inutiles. » dit-elle calmement.
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MessageSujet: Re: Rien ne s'assemble mais le tout se rassemble. [Cillian]   Rien ne s'assemble mais le tout se rassemble. [Cillian] EmptyDim 10 Aoû - 16:08

(éternelle insatisfaite ? xD)

    heureusement que ce n'est ma promise. et moi le sien.






    « J’ai envie de soupirer mais tes pieds sont comme je le disais, la définition du ‘beurk’. Et le mariage attendra, soigne-toi en attendant, tu es un amour mais malheureusement, ta cravate est sur le point de s’affaler… »

    Cillian leva les yeux au ciel. De toute manière, si Sunday venait à porter le nom « de Volanges », ses parents s’en mordraient les doigts jusqu’au restant de leurs jours. Il imaginait, les prunelles pétillantes, le mariage ou les dîners de famille… Jamais. Il était supposé être le petit ami officiel d’une autre jeune fille, tout aussi ravissante et mordante que la belle Harwell, cependant, aucune des deux ne remplacerait la seule qui puisse être digne de recevoir tout ce dont il est capable sur le plan tendresse et passion. Sa sœur, bien évidemment. Mais c’est un sujet fort compliqué, et je ne suis guère là pour vous le conter. Revenons-en plutôt à la Gryffondor, et à sa frivolité qui a toujours su faire rire le Serpentard. Il secoua nonchalamment la tête, en proie à une nouvelle réplique qu’il retint. Face à elle, il ne jurait que par ironie, jamais par gentillesse ou autre sentiment mielleux que l’on opte pour des amis. Le mariage… Ce mot avait une consonance différente, selon l’individu. Phobique de l’engagement, union précoce… seulement, dans le cas de Volanges, ce n’était que la vie qui prenait la forme d’un cauchemar. Il était voué, comm beaucoup d’autres, au mariage arrangé. L’épouse que l’on n’a jamais vue de sa vie, le témoin indésirable, la cérémonie dans le manoir des nouveaux mariés ou de l’époux. Bref. En attendant ce jour fatidique, ce n’était pas à Harwell que ses parents – surtout sa mère si vous voulez mon avis – allaient le fiancer.

    « Je disais que ta cravate était sur le point de s’affaler parce que l’odeur de tes orteils remonte dessus, Chéri. »

    Et en plus, elle était drôle, aujourd’hui ! À l’instar de Sunday, il sourit également à la remarque, enfin, « il sourit »… À ne pas prendre au pied de la lettre. Une moue arrogante apparut sur son visage, provoquant un sourire tordu, presque forcé. Il ne prit pas la peine de répliquer, sinon, elle l’assommerait à nouveau avec les odeurs pestilentielles que dégageaient ses… pieds. À croire qu’elle s’était sérieusement renseignée avant d’omettre son opinion. Il en riait intérieurement. Depuis longtemps, les deux jeunes gens prenaient l’habitude de glisser des « petits noms » - langage romantique – pour se moquer de l’autre. Rajoutons cela à leurs éternelles remarques, vous obtenez un cocktail des plus explosifs. Cillian avait dû commencer… ou Sunday, il ne s’en souvient plus. Néanmoins, malgré cela, il pouvait se vanter d’avoir pu serrer la belle entre ses bras une nuit. Seulement une. Elle avait l’air intouchable, mais il l’avait attrapée… et relâchée. Son caractère trop trempé les aurait conduits à être les deux individus responsables de la destruction de Poudlard. Sérieusement, si de Volanges avait demandé à la donzelle de sortir avec lui, qu’elle avait accepté ? Imaginez quelques secondes le ménage qu’ils auraient pu être. Cillian lui aurait octroyé tout ce qu’elle souhaitait, elle aurait fait de même… Et j’en passe.

    « Hé, c’est toi qui a failli me faire frôler l’arrêt cardiaque ! Moi lire ? Non, je m’abaisserais pas à là, comme même… Je te signale que les Serpentard et les Gryffondor ont cours de potions dans la journée, donc, après la pause. En gros, c’est uniquement pour le cours, mon amour. Je n’ai pas besoin de livre pour être intelligente. » Puis elle ajouta avec un ton faussement compatissant : « Ton frôlement d’arrêt cardiaque n’existe plus, le prince. »
    « Me voilà rassuré, chérie ! Pendant un instant, j’ai cru que j’allais te demander comment tu avais succombé au déplaisir de la lecture… S’abreuver du savoir que l’on a déjà acquis est vraiment déplaisant. Je tentais de t’imaginer rat de bibliothèque. Ce n’est vraiment pas pour toi. »

    Harwell et Volanges : rats de bibliothèque. Hm. Oui, peut-être, mais dans une autre vie alors. En revanche, Harwell et Volanges entrain de mettre sans dessus dessous la bibliothèque, cela ne saurait que tarder. Séparément ou ensemble, c’est à l’avenir d’en convenir. Cependant, c’est un plan qui plairait au Serpentard.

    « Et ? Les moches me conviennent pas… A ta grande satisfaction, ouais, je te préfère à ces mecs inutiles. »

    Il éclata de rire, un rire assez jaune, mais cela reste un rire. Il n’eut cure des élèves qui regardaient la scène, intrigués par celui que l’on qualifiait d’individu à l’humeur noir rire à la remarque simpliste d’une Gryffondor. Cillian se reprit, adoptant derechef son attitude sérieuse.

    « En attendant, j’ai eu beaucoup de chance de ne pas t’avoir mise en cloques. Tu as beau me préférer, je ne suis pas sûr qu’avoir un 50 de taille soit ton objectif après avoir passé la nuit avec moi. » Il feignit un frisson avant de reprendre. « Et imagine… Un mélange de C et S. Ce serait horrible pour l’entourage… Ensuite, ma sœur me supplierait de la prendre comme marraine, puis mes parents m’auraient fiancé avec toi – ce qui ne me plairait pas trop vu qu’on divorcerait le jour d’après, et j’en passe. On peut toujours réessayer si tu veux, jolie Sunny. »

    Bien sûr, ce n’était que de la provocation, et encore. Un avant-goût de ce qui aurait pu se passer s’il y avait eu… une bavure. Certes, elle le préférait peut-être aux autres, mais pas au moins de se faire engrosser et fiancer, comme il avait voulu le sous-entendre. Un rictus hautain, malgré ses prunelles joyeuses, prit place sur le visage d’aristo bien rangé de Cillian.
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Sunday Harwell
6ème année | Gryffondor
Sunday Harwell


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MessageSujet: Re: Rien ne s'assemble mais le tout se rassemble. [Cillian]   Rien ne s'assemble mais le tout se rassemble. [Cillian] EmptyDim 10 Aoû - 20:53

(Oui, éternelle insatisfaite mais today, satisfaite pour beaucoup de choses. xD)

    Un mariage. Mot résonnant dans sa tête comme un coup de vent. Bien que les Harwell avaient les poches pleins aux, qu’ils étaient fortunés et qu’ils représentaient la classe et l’élégance, les parents de Sunday ne se vouaient pas à lui faire épouser un homme inconnu. Elle était libre de faire ce qu’elle voulait, d’aimer qui elle voulait, n’importe quand. Oh, il y avait toujours des problèmes avec ça, mais pour l’instant il n y en avait pas. D’un côté, Sun’ voyait le mariage comme une chose totalement débile, dénoué d’intérêts. Effectivement, la jolie demoiselle n’avait pas le temps pour ce genre de choses et ça ne lui ressemblait en aucuns points. Jamais un garçon n’avait su la satisfaire et Sunday avait encore toute sa vie. La solitude ne l’effrayait pas, en gros, ni chaud ni froid. Oui, étant une jeune femme pleine de vie, elle pouvait s’éclater à mort sans se retrouver en longue robe superficielle de mariée, en train de faire un monologue ennuyant sur l’amour. Elle avait sa famille, ses amis, peut-être un petit-ami dans le futur que Sunday allait aimer sans se marier. Bref, tout ce qu’elle voulait sauf… Se marier avec Volanges ! Ah, eh bien oui, une légère horreur monumentale. Ils avaient le point commun d’être riches et ironiques, mais eux deux s’aimer, c’était que la passion n’allait pas durer longtemps… Allez donc savoir pourquoi, jeunes ignorants tout aussi curieux que la Gryffondor.

    « Me voilà rassuré, chérie ! Pendant un instant, j’ai cru que j’allais te demander comment tu avais succombé au déplaisir de la lecture… S’abreuver du savoir qu’on a déjà acquis est vraiment déplaisant. Je tentais de t’imaginer rat de bibliothèque. Ce n’est pas vraiment pour toi. »

    Brrr… Non, Sun’ n’était pas comme sa sœur, Soleyn. Sa cadette de tout juste un an était l’opposée officielle de Sunday. Les deux filles ne partageaient rien du tout, sauf peut-être physiquement. Elle, fougueuse rouge et or, gentille, courageuse et très tête brûlée, et l’autre, Serdaigle, calme, intelligente, fourrée dans les livres jours et nuits. Quelle dommage… Même le Quidditch, célèbre sport sur balai, alors, Soleyn n’en faisait pas du tout. Voir, elle n y connaissait strictement rien, ce qui faisait qu’elles étaient en quelque sorte, sœurs éloignés. Elles ne se parlaient que rarement, jamais une occasion de s’adresser à elle plus de dix minutes, bien qu’elles s’adoraient un peu, comme même. Se renfrognant d’une manière presque invisible, Sunday reporta son attention sur Cillian déclarer sur un ton neutre.

    « Hé, si on me forcerait à rester dans la bibliothèque pour y lire des livres inutiles, je ferais en sorte à ce que la bibliothécaire se fasse endormir à l’aide de ma baguette magique, et je m’enfuirais loin de cette atmosphère feutré et qui me paraît assez désagréable sur les bords, Darling. »

    Puis quelques minutes plus tard, C engageait la conversation sur les garçons laids. Ouais, elle ne les aimait pas, Sunday, elle n’avait ni compassion pour eux, ni intérêts physiques. Bien évidemment, jamais elle n’essaierait de s’en faire un en douce, son lit confortable allait brusquement devenir… Tout aussi hideux que les boutonneux. Ah, voilà un rime convenable mais pas suffisamment drôle. Car Sun’ avait plutôt l’habitude de rire pour ce qui en valait la peine et elle riait quand elle voulait, approximativement dans le même esprit que Cillian qui éclatait de rire juste à cause de ce que venait de dire la blonde belle et élancée. Les élèves passant dans le hall semblaient étonnés de les voir discuter tranquillement (hm, pas vraiment, l’ironie n’est jamais tranquille…), mais pas avec une tasse de thé, heureusement !

    « En attendant, j’ai beaucoup de chance de ne pas t’avoir mis en cloques. Tu as beau me préférer, je ne suis pas sûr que ton objectif soit d’avoir un 50 de tailles après avoir passer la nuit avec moi. » feignant un frisson, il continua : « Et imagine… Un mélange de C et S. Ce serait horrible pour l’entourage… Ensuite, ma sœur me supplierait d’être sa marraine, puis mes parents m’auraient fiancé avec toi - ce qui ne me plairait pas trop vu qu’on divorcerait le jour d’après, et j’en passe. On peut réessayer si tu veux, jolie Sunny. »

    Sunday pouffa de rire. Imagination débordante venant de la part de Cillian de Volanges, ce qui lui paraissait pas trop étonnant. Après tout, il était intelligent et savait tout aussi bien mentir et blaguer, qu’imaginer. D’un air presque professionnel, Sun’ relança sa longue chevelure blonde et soigneuse derrière son dos, rangea son livre qui commençait à lui peser la main et elle prit la parole précautionneusement, ayant le visage radieux d’amusement.

    « Tu m’aurais mis en cloques, mes parents auraient piqué une crise, enfin, sauf si je ne leur en faisais pas part. Oui, je ne partage pas la part du gâteau au chocolat. Et je veux garder ma taille parfaite. » dit-elle en lui lançant un regard ‘éclairant’. « Oh, le mélange C & S. Hum, j’admet, il sera aussi beau que ses parents, le mélange. Je déforme ta version imaginative, tes parents t’auraient fait la morale sur mon sujet, on ne divorcerait pas, je préfèrerais t’embêter toute ma vie et… »

    Elle s’interrompit presque mystérieusement avant de reprendre sa figure froide, mais qui pouvait signifier qu’elle était encline à rire.

    « Je me souviens tellement des derniers frissons d’horreurs que je ne referais pas l’expérience avec toi. »

    Ivre, Sun’ ne savait même pas si elle avait eu des frissons « d’horreurs » et par pitié, si Cillian se mettait à se souvenir de ça, elle piquait sa crise ! Mouais, elle n’avait aucune envie de savoir les détails… Et à l’instant ou C s’apprêtait à ouvrir sa bouche, elle se mit à penser avec force qu’il n’avait pas intérêt à dire ce qu’elle redoutait, à moins qu’il ne voulait que Sunday se venge gentiment mais d’une manière considérable, oui, elle en avait les moyens.
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